vendredi 19 février 2010

La semaine de l'anglais


Enfin, nous avons enfin fait des préparations pour la semaine de l’anglais à l’université !

OK, ça sert plutôt à encourager les gens de parler couramment, sans hésiter, et surtout sans fautes de grammaire. Alors moi et plusieurs autres étudiants avons formé le Comité aujourd’hui et on dirait que ça marche ! ^_^ Nous prévoyons ces activités à la dernière semaine du mois prochain.

On a prévu quelques activités pour la semaine… telles que des débats, de l’élocution, des pièces de théâtre…… même un concours de chant ! Mais pour l’instant je vais surveiller toutes les activités pour voir si on va tout avoir. Je me charge de la promotion et des choses techniques (manier l’ordinateur, préparer la musique de fond, essayer les micros…). Je suis excitée !

Au même temps il faut que je n’oublie pas mes études…


Le texte sur l’image : Brickfields Asia College English Week. Speak up, Be Heard. C'est moi qui l'ai faite !

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mercredi 28 octobre 2009

Drôle d’examen, partie 3 : C’est pour ça que nous ne nous appelons pas des locuteurs du malais

À venir…

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mercredi 14 octobre 2009

Drôle d’examen, partie 2 : Pourquoi la morale ?

J’avais dit dans Partie 1 que la morale est l’un des sujets requis pour le SPM.

Vous direz que j’ai un poil sur la main, que je n’aime pas étudier, et oui, c’est vrai. Mais j’ai une telle haine pour la morale, je veux que ce sujet soit aboli.

Pour la morale, il y a une épreuve écrite et un projet (où on doit rendre service à la communauté et en parler/écrire).

Vous trouverez incroyable que nous avons des livres de texte pour ce sujet. Tout d’abord, pourquoi y a-t-il des livres de texte ? Si ce sujet sert vraiment à augmenter notre moral et développer des valeurs, on ne peut pas les apprendre d’un livre de texte. Nous devons les pratiquer. Pourtant, je ne vois vraiment pas la pratique parmi nos élèves. Le projet est aussi inutile : parce que notre temps est très limité, la plupart des élèves posent pour la caméra simplement pour prouver que « nous étions là, nous avons fait ça, vous ne pouvez plus vous en douter ». Ils ne font rien pour aider l’organisation qu’ils prétendent aider. C’est la malhonnêteté, voilà ! C’est aussi injuste, parce que quelqu’un qui n’a pas de valeurs, mais qui étudie durement, peut récolter un A pour l’épreuve écrite.
À quoi sert un A pour la morale si les élèves n’ont pas du tout de valeurs ?

Ensuite, à chacun, son point de vue. Chaque élève a une manière différente pour expliquer une certaine vertu. L’honnêteté, par exemple. Pourtant, le système d’éducation ne respecte vraiment pas ce fait. Au lieu de nous donner la liberté de nous exprimer, nous devons mémoriser CHAQUE MOT de la définition de chaque vertu (selon le livre du texte), et pour quoi ? Ça restreint la créativité des élèves, leur compétence pour penser de manière critique. Grâce à la morale, grosse faute de notre système d’éducation, nous devenons des robots, programmés à écrire les mêmes mots dans chaque épreuve. (Puis les examinateurs ne seront-ils pas ennuyés ?)

Une autre chose qui m’attriste, c’est qu’on ne parle pas des exemples moraux du monde : Martin Luther King, Robert Badinter, Mère Teresa, entre autres. On ne nous donne pas l’inspiration pour agir et changer la situation. Si la morale ne peut pas nous faire agir, elle n’a pas de fonction. Parce que si la Ministère de l’Éducation dit incessamment que les jeunes sont l’espoir du monde entier, et si nous n’agissons pas, ça veut simplement dire que les plans pour développer les valeurs des jeunes ne sont que des échecs.

Finalement, nous avons beaucoup trop de sujets à étudier. Cela applique surtout aux élèves qui apprennent les SVT/SES (je les ai étudiées au lycée). Nos précieuses heures, qu’on aurait passées pour se concentrer aux sujets clés comme les maths et les SVT/SES, sont perdues simplement parce qu’on étudie la morale. Lorsque j’ai été en cinquième, j’ai passé huit heures par semaine pour mémoriser les définitions et les mots clés des vertus. Et pour rien, en fait. Aujourd’hui, deux ans après la fin de mes années scolaires, je trouve que les définitions/mots clés ne servent à rien.

Je ne vais rien dire pour conclure mon argument. Essayez de trouver les bonnes qualités de ce sujet ; peut-être on va débattre. Mais si vous n’arrivez pas à en trouver, vous comprenez bel et bien qu’on doit fermer (et possiblement brûler) les livres de texte pour la morale.


À suivre :
Partie 3 : C’est pour ça que nous ne nous appelons pas locuteurs du malais

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lundi 5 octobre 2009

Drôle d’examen, partie 1 : Parce que l’examen approche…

J’ai voulu en écrire quelque chose.

Notre système d’éducation est un peu compliqué. Tellement différent, on dirait. Je vais devoir l’expliquer avant de commencer cet article…

OK. Commençons avec l’école primaire. Les élèves commencent à l’âge de sept ans – Year 1 – 6 – et puis, à la sixième année (c’est-à-dire à l’âge de 12 ans) on doit passer un examen pour pouvoir continuer. On l’appelle l’UPSR (Ujian Pencapaian Sekolah Rendah = Test de compétence pour l’école primaire). Pour l’UPSR, on est requis de passer quatre sujets – le malais, l’anglais, les mathématiques et la science (générale).

Puis après l’UPSR, il y a les études secondaires. Et contrairement à la France, le collège et le lycée ne sont pas séparés. On l’appellerait plutôt l’école secondaire. Nous ne suivons pas la séquence de septième, sixième, cinquième etc. – c’est renversé. On va à la première généralement à l’âge de 13 ans. Alors, première, deuxième, troisième – en troisième, il y a un autre examen – le PMR (
Penilaian Menengah Rendah
= Évaluation (d’études) secondaires bases). Sept sujets sont requis pour le PMR – le malais, l’anglais, les maths, la science (générale), l’histoire, la géographie et… quoi encore ? (je ne me souviens plus… désolée… -_-")

Puis quatrième, cinquième – en cinquième, il y a UN AUTRE EXAMEN (oui, y’en a marre !) – le SPM (
Sijil Pelajaran Malaysia
= Certificat d’études malaisiennes). Cinq sujets sont obligatoires – le malais, l’anglais, les maths, l’histoire et la morale. Mais pour recevoir une bourse ou pour entrer dans l’université, ces cinq sujets ne suffiront pas. Il faut aussi d’autres sujets, selon la prédilection de l’élève. Le nombre général de sujets dans chaque école est entre huit et dix.

Pourtant, en MY, il y a une nouvelle théorie qui s’est posée : si on a plus de sujets, et plus de notes A, c’est beaucoup mieux ! Mais on aura sûrement marre de s’entourer des livres au jour le jour, n’est-ce pas… ? Alors enfin, au début de cette année, la Ministère de l’Éducation a enfin limité le nombre de sujets au SPM à dix.

Puis, la sixième base (qui prend une année) et la sixième haute (qui prend six mois). Après la sixième, on passe le STPM (
Sijil Tinggi Pelajaran Malaysia = Certificat de haute éducation malaisienne – oui, je sais, c’est plutôt littéral) ou les A-Levels – tous les deux sont équivalents au bac français. Parce que le niveau de difficulté de l’examen est si haut, nous n’osons pas étudier plus que cinq sujets. Un maximum de cinq ! L’étudiant moyen prendrait trois sujets – le minimum.


Ma cousine et quelques amis vont passer le PMR mercredi le 7 octobre, et j’espère qu’ils ont bien préparé.

Mais personnellement, je trouve qu’il y a beaucoup trop d’examens. Moi je suis entrée à l’école primaire en 1998 et j’ai fini l’école en 2007 (j’ai sauté une année, alors j’ai passé dix ans à l’école. La plupart de mes autres amis passaient onze ans). Et tout au long de ces dix ans, il y avait des examens tous les deux ou trois mois, puis l’évaluation mi-terme et finale pour chaque année, puis les UPSR, PMR et SPM…… Déjà que j’avais du mal à étudier ! Même mes parents ont souffert – surtout ma mère, parce qu’elle m’aidait avec les préparations CHAQUE ANNÉE et elle voulait toujours me voir réussir.

Un examen est une évaluation des compétences. Pas une course, pas un concours pour voir qui peut récolter le plus de notes A. Chaque A est important, sans doute, parce qu’il peut déterminer si l’élève est compétent. Mais ça doit être un A de qualité. Pourtant, tant que j’aie été à l’école, ce n’était pas la situation.

Quand l’examen approchait, tous les élèves – et je dis TOUS LES ÉLÈVES – se sont assis à la maison et ils se sont entourés des livres, des brouillons… Ils ne faisaient autre qu’étudier. Ils n’ont pas eu même le temps de sortir avec leurs amis, ni de regarder la télé, ni de se divertir… C’était notre destin, à l’âge de 12 ans (11 ans pour moi), à l’âge de 15 ans (14 ans pour moi), et à l’âge de 17 ans (16 ans pour moi). Nous étions une bande de jeunes choqués. Nous n’avions vraiment pas le temps de profiter de la vie.

Ils étudient juste pour voir un certain nombre de notes A dans leurs certificats de résultats.

Et souvent, cet A n’est pas un bon A. Je me souviens de mon PMR, que j’ai passé en 2005 – j’étais en train de passer mon test d’anglais. J’ai vu des questions ridicules, entre elles :

What is spelling bee ?
A. A bee that spells.
B. A pretty bee.
C. A language game.


Même si vous ne comprenez vraiment pas l’anglais, vous trouverez les questions plutôt faciles. Débiles, on dirait. J’ai du répondre à une trentaine ou une quarantaine de ces questions, je n’sais pas moi… et la durée de l’épreuve était une heure et demie. Dans vingt minutes, j’ai complété l’épreuve et j’ai dormi sur la table.

Et croyez-moi, même les analphabètes (j’exagère, mais vraiment…) ont eu une note A.

Vers le SPM, j’ai décidé de passer une épreuve pour un autre sujet, celui qui est très rare dans le SPM – le français. Au début j’avais peur de l’examen parce que 1) je ne savais pas qui corrigeait les épreuves, et 2) je ne connaissais pas le niveau de difficulté. Puis quand une aînée m’a passé les épreuves des années passées, elle m’a dit qu’une équipe à l’Alliance Française corrige ces épreuves. Je n’avais plus peur, parce que l’Alliance Française de KL me connaît. J’ai lu les sections de l’épreuve et voici ce que j’ai découvert :

L’épreuve a cinq sections – 1) la compréhension, 2) remplir les espaces avec un seul mot pour chaque espace, 3) compléter un dialogue, 4) un essai (on doit dépasser 180 mots), 5) (qu’est-ce qu’on va dire dans cette situation ?)

C’était FACILE ! Et ça me donnait aussi la liberté d’imaginer. On peut dire ce qu’on veut dans les sections 3, 4 et 5. La durée de l’examen était deux heures. Et on peut dire que je l’ai réussi sans effort…

Et il y a aussi des examens qui sont si difficiles, les élèves doivent étudier 24/24, 7/7 et appliquer ce qu’ils ont appris, sur tout. Il n’y a qu’un seul problème : lors de nos années scolaires (sauf le sixième), on ne nous a pas appris à appliquer ce qu’on a… appris ! Et c’est pour ça qu’on échoue.

……ça me fait poser ces questions : Pourquoi les examens sont trop faciles ou trop difficiles ? Quel est le standard ? Et surtout, quel est le but de notre éducation ?

Je suis heureuse d’avoir bien terminé le sixième cette année. Et je prie pour le succès de mes amis et mes cousines. Mais je ne cesserai pas de critiquer les matières et le niveau de l’éducation.

À suivre :

Partie 2 : Pourquoi La Morale ?
Partie 3 : C’est pour ça que nous ne nous appelons pas locuteurs du malais

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jeudi 1 octobre 2009

Parce que personne ne comprend : Partie II

Chaque fois je vois au moins un clip d’un concert – de n’importe quel concert contemporain – je pleure.

Parce que je souhaite prendre ma place sur la scène un jour.

Mais voyons… je ne suis pas si chanceuse. Tant que les jeunes titans en musique – Alizée et Lisa – ont été guidées par la même personne (qui n’est autre que Mylène Farmer), je suis mon seul guide. Maman était mon guide avant, et partager ma passion pour la musique avec elle, ça me rendait heureuse. Mais aujourd’hui elle n’est plus là… Et parfois je me demande si je ne me trompe pas…

Je pleure. Je prie. Je demande aux amis. Je ne trouve aucune solution.

Je me suis toujours aperçue comme ça (vous pouvez l’appeler une comparaison, si vous voulez) : Alizée est plus âgée que moi. Lisa est plus jeune de moi. Entre elles il y a une différence de quatorze ans. Moi, j’ai dix-huit ans et je me trouve… au milieu. Les deux chanteuses ont déjà eu leur chance à être célèbre. Je veux être la prochaine.

Pourtant, pour une Malaisienne, je rêve immense. Parfois, je dois admettre, je suis si confiante, à tel point que je peux me voir avec un prix en main. On n’aime pas ça. Je souhaite toujours que l’on comprenne, mais est-ce qu’on comprend vraiment ? Puis, je fais partie des « autres gens », ceux qui n’ont apparemment pas la voix et le potentiel d’unir le peuple, et je dois travailler trois fois plus durement que quelques autres pour me faire un nom. Je dis honnêtement, pour quelqu’un comme moi, être reconnu dans son pays natal, c’est demander trop.

Maman avait cru que mon domaine de préférence, c’est la musique. Mais qu’est-ce que je vais faire à cette trentaine de brouillons sonores ? Et mes idées alors ? Pour l’instant je ne vois que le noir. Il n’y a aucune opportunité. J’en ai marre d’attendre. Je n’aime pas attendre le bon moment pour rendre ma famille fière. Pour moi, n’importe quel moment est le bon moment.

Je veux commencer maintenant.

Pff, je rêve. Je ne peux jamais commencer.

Je fais de la musique et je chante aux quatre murs de ma chambre, et c’est tout ce qui arrive au jour le jour.

Oui. C’est ma sombre destinée.

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lundi 13 juillet 2009

Sur la terre des libres/Audace

Sur la terre des libres, le soleil se lève
Un rêve et une quête s’achèvent
Je ferme ce livre pour en ouvrir des neufs
À cet endroit je dis adieu


Sur la terre y’a que des ténèbres
Des êtres qui respirent dans le noir
Et si vraiment le ciel est fait des rêves
Le ciel appartiendra à moi
Dans ces enfers je crie ton nom
Dans ces enfers je prie
Laisse-moi respirer, rester en vie

REFRAIN I :
Je te prie, Dieu, donne-moi l’audace
Renforce mon cœur pour affronter ces craintes
Je te prie, Dieu, donne-moi l’audace
Car j’ai besoin de me lever et leur dire
Je n’vais pas perdre

Les jours commencent et les nuits terminent
Mais je souffre lentement dans le noir
Je pars d’ici et je détermine
Mon destin et mon avenir à moi
Ces yeux sont lourds
Mon cœur est lourd
Et ces oreilles sont sourdes
Mais ils s’ouvrent avec un souffle de puissance

REFRAIN II :
Je te prie, Dieu, donne-moi l’audace
Relève mon cœur et fais ouvrir mes oreilles
Je te prie, aide-moi à trouver ma place
Car j’ai besoin de ne pas perdre ce jeu
Surtout pas maintenant

Ces rêves m’appartiennent
Cette histoire est la mienne
Je veux me retrouver
En face du monde entier
Un être puissant
(aux refrains I et II)



J’ai eu l’idée pour la musique il y a longtemps, mais quand je suis partie de KL j’arrivais avec seulement trois lignes. Maintenant j’ai une chanson entière !

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Sur la terre des libres

Sur la terre des libres, le soleil se lève
Et là-haut j’aperçois des rêves
Au plus profond des terrains verts
Je viens avec un esprit ouvert

Et sur la terre des libres, je regarde le ciel
Je me dis que la vie est belle
Le vent, la pluie, la froideur d’la nuit
Vont pas m’affaiblir, je trouve ma place ici

Lentement j’avance, j’affronte mon destin
Je souhaite oublier mon chagrin
Et affronter mes craintes, retrouver des âmes sœurs
Plonger au plus profond du cœur



Informations sur la chanson à venir…

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mercredi 8 juillet 2009

Ma liste de rêves ? Et ce n'est pas encore fini !

1. Être une bonne personne et une bonne chrétienne
2. Devenir chanteuse célèbre
3. Réussir mon diplôme en droit
4. Faire gagner les Braves Réalisé
5. Devenir la Meilleure Apprentie Réalisé

6. Pénétrer le marché francophone (musique, bien sûr)
7. Avoir un centre d’enregistrement : la Maison TNÉ
8. Transformer le Carnet en film/jeu
9. Écrire « Les Histoires Duchemin » et les transformer en films/jeux
10. Réussir le C2
11. Participer dans la Fête de la Musique, au moins une fois
12. Faire le Projet Rêver (ceci est un projet d’unir les jeunes des différentes ethnies)
13. Faire le projet « Patriotism and Gift-Giving » (détails à venir)
14. Faire le projet « Charité : A Christmas Album »
15. Avoir un ordinateur portable personnel
16. Enregistrer mes propres mp3 et les diffuser en lighe
17. Avoir une merveilleuse famille
18. Voir les gens s’aimer
19. Pouvoir les émouvoir avec ma musique ^_^
20. Pouvoir lire la Bible complètement (pour l’instant il y a des pages manquées)
21. Jouer à chaque jeu Kingdom Hearts
22. Acquérir les versions françaises des jeux Kingdom Hearts
23. Devenir bureaucrate sur Wikia (réalisé pour Kingdom Hearts Fanon Wiki)
24. Visiter la France et vivre à la française
25. Visiter l’endroit d’origine et mes ancêtres – Panjab
26. Voir ma famille unie
27. Être doubleuse d’un personnage principal (soit dans mes jeux, soit dans des jeux Square-Enix/Ubisoft/je ne sais quoi)
28. Bien jouer de la guitare, de la batterie et de la basse
29. Créer un ensemble de percussion
30. Visiter chaque pays dans le monde
31. Visiter la Terre Sacrée
32. Rencontrer le Pape
33. Apprendre le chinois, l’espagnol, le japonais, le panjabi et le tamoul
34. Utiliser une arme Réalisé, j’avais utilisé un M16
35. Être propriétaire d’une Keyblade (Chaîne Royale, Tendre Promessse, Two Across ou bien Fatalis)
36. Avoir une fête au Kingdom Hearts avec une glace sucrée-salée, avec un gâteau à l’orange en forme d’un fruit Paopou et un jeu au Re:Chain of Memories
37. Écrire des chansons, gagner des prix pour mon travail
38. Trouver un gentil et aimant mari
39. Avoir un mariage à l’église, à la française avec des éléments indiens (oh, je rêve immense !)
40. Être aimée et acceptée pour ce que je suis
41. Bien cuisiner
42. Écrire un livre de recettes
43. Travailler avec l’ONU, aller autour du monde
44. Chanter aux côtés de Mylène Farmer, Zazie, Alizée, Axel Bauer et Pascal Obispo :) (ça serait rêver immense, je sais)
45. Chanter aux côtés d’Enya, Dolly Parton, David Archuleta, Taylor Swift et Vanessa Amorosi
46. Apprendre l’anglais à des enfants, tout comme ma mère l’avait fait =)
47. Acheter un pair de baguettes Vic Firth signées (ou les acquérir)
48. Apprendre le français à quelqu’un
49. Avoir un domaine personnalisé en ligne (j’en ai absolument marre d’utiliser « .blogspot.com/ »)
50. Écrire des paroles touchantes comme celles de Zazie
51. Colorer mes cheveux (peut-être ça serait trop)
52. Avoir une confortable maison
53. Être arrangeuse officielle des chansons pour un chœur (notamment Ressonnant Inc.)
54. Réaliser le projet « Nous sommes tous enfants » (détails à venir)
55. Faire de la batterie aux côtés de Phil Collins et Neil Peart dans le Hall of Fame
56. Faire des courtes vidéos avec des personnages originaux
57. Utiliser mes dessins du passé en tant que couvertures de mes livres/albums/dessins des sites
58. Créer mon propre dessert, quoi qu’il soit
59. Écrire quelques bons contrats (comme je serai bientôt avocate)
60. Maintenir un poids de 58 kg Réalisé


Voilà. On pourrait dire que je rêve immense. Que je tire des plans sur la comète. Mais c’est bien moi. En classe j’ai fermé les yeux et je me suis imaginée 1) devant une grande audience, en train de faire de la batterie, en train de transpirer, 2) en train de recevoir le prix – la Révélation française de l’année. =) J’ai été si émue par ces rêves, à tel point que j’ai commencé à pleurer… Papa, si tu étais là pour me voir pleurer chaque fois on mentionne mon rêve… tu sauras comment je le chéris.

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jeudi 2 juillet 2009

J’ai trouvé une défense envers ceux qui me disent « Occupe-toi de ta compagnie tout d’abord »

Si votre ami est indien et vous êtes malais, par exemple, est-ce que vous allez l’abandonner parce qu’il est d’une autre ethnie ? Si votre cousine, qui est très proche à vous, habite à Ipoh et vous à Miri, est-ce que vous allez lui dire vous n’allez pas l’aider parce que vous venez des états différents ? Même cas ici : mes amis sont des compagnies différentes, mais je les aime du fond de mon cœur. En fin de compte, même si les compagnies se battent entre elles pour remporter le prix, ce sont mes amis qui rendent mon cœur plus puissant. Mes amis sont mon pouvoir ! C’est un exemple d’une amitié sans frontières, et je souhaite la cultiver.

Le climax de cette amitié arrivera… espérons… à la réalisation du Projet Rêver.

En ce moment les enseignants en train d’examiner les chambres des apprentis, une à une, pour trouver s’il y a des cigarettes, de la drogue, etc., etc., etc. C’était un choc pour nous : on ne savait pas quand ils le feraient. Au même moment, nous écoutons de la musique, nous chantons, et comme d’habitude, nous tirons des ennuis !

Oh non. Cela a dû arriver lorsque j’écris. Il n’y a pas d’électricité. Tout comme je l’avais dit il y a quelques mois. C’est là où la tension commence……

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samedi 27 juin 2009

Tiens mes mains (ou, des mots d'encouragement)

Je n’peux pas comprendre ce que tu sens
Je peux pas lire ton cœur
Mais j’attends le jour où nous marchons ensemble
Qu’importe ta douleur

REFRAIN :
Tiens mes mains, prends alors tes pas
Va sur la voie de la victoire
Lève le cœur, lève alors tes bras
Elle sera la tienne alors, la voie vers la gloire !

Je n’peux pas comprendre ce que dit ton esprit
Je n’vois pas pourquoi tu pleures
Mais sous le soleil ou bien sous la pluie
Faisons alors nos preuves


J’ai écrit ces mots quand j’ai été attristée par quelques amis. Là, dans le terrain bituminé je me suis entraînée la marche en pas. J’ai pu tout faire, sauf…… marcher. Et lorsque j’essayais de faire de mon mieux, ces « amis », ils m’ont abuse avec leurs mots. En fin de compte, après dix essais, leurs mots étaient trop pour moi.

Je peux tolérer une ou deux heures de soleil. Une ou deux heures de transpiration. Peut-être beaucoup plus. 60 push-ups sur la route chaude. Le supplice physique. Je tolère. Mais quant à l’émotion, c’est encore faible, surtout quand j’ai été grièvement attristée par la mort de ma mère. Pour 11 jours j’ai essayé de ne pas pleurer, malgré leurs mots. Aujourd’hui, je me suis éclatée en sanglots. Je me sentais… comme je ne pouvais pas continuer. C’est en buvant du Milo, en pleurant, que j’ai pensé à Lui et que j’ai écrit cette chanson. Chaque fois je la chante, je me sens comme quelqu’un est près de moi – un ami que Dieu a envoyé. Et ça me donne de l’espoir. Quand j’ai marché en pas sur le pavé toute seule, j’ai chanté le refrain et je me sentais comme Jésus tenait mes mains et m’aidait à avancer ; droite, gauche, et droite encore. Je me sentais comme quelqu’un battait le tambour pour lever mon esprit, pour m’aider à suivre le rythme.

Si bientôt je peux vraiment marcher en pas, ça sera une vraie bénédiction. Une preuve de ma puissance interne. Gloire au Seigneur !

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