vendredi 6 mars 2009

Scènes mis au hasard

Mon cours de littérature vient de terminer et là, je me trouve encore devant l’écran, encore besoin de taper quelque chose. Je veux être isolée devant l’écran (peut-être une ou deux amies peuvent s’asseoir près de moi, mais c’est tout…). Il y a beaucoup de monde et je vais devoir écrire mes pensées ici cette fois (pas dans mon blog anglais, parce que je veux que mes efforts restent privés cette fois).

Après tous ces vendredis d’enfer, aujourd’hui je n’ai pas envie d’aller au cours de droit de tort. Hier soir j’ai raconté à mon père les ennuis, les troubles du cours de droit de tort. Ce n’est pas que je n’aime ni le professeur ni le sujet (le prof de droit de tort, c’est une femme très gentille)… c’est que je n’aime pas la manière dont elle nous apprend. Nous progressons trop lentement, et je ne l’aime surtout pas quand elle écrit et ne dit rien, et ensuite, elle nous explique en manière lente. Ce que doit vraiment être des cas sont enfin, pour nous, des histoires à dormir débout, et nous le détestons quand elle commence une phrase avec « Maaaaaaiiiiiiiis néeeeeeeaaaaannnnmooooiiiiiiinnnnnns…. » (Oui, je sais les mots « mais » et « néanmoins » ne vont pas ensemble…)

Eh bien, bientôt je vais me libérer de cet enfer.

Au fait, je n’arrivais pas à m’asseoir devant l’écran hier parce que j’étais vraiment trop fatiguée après les cours – pour à peine une semaine je n’ai pas assez dormi car j’ai du travailler une autre présentation pour mon cours de business. Alors après revenir chez moi à 19h, dîner à 20h… je suis allée au lit à 20h45 et je me suis réveillée douze heures plus tard.


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Pendant que j’aie travaillé la présentation, je pensais à ces mots :

Au secours, je me noie
Tu me revois, tout solitaire


Je chantais ces deux lignes dans la salle de bains. Sans arrêt. La musique me venait naturellement. Je chantais, en do dièse mineur, mot après mot en succession rapide. Là, quand mon corps commençait à être mouillé par les gouttes d’eau chaude, je m’imaginais en train de me noyer. J’imaginais la musique. C’était là. Et je chantais encore. « Au secours, je me noie. » Peu après j’essayais de continuer mais je me bloquais. Même avec mon stylo préféré en main, je ne pouvais rien écrire.

Je sais je vais devoir utiliser ces deux lignes dans une chanson. Peut-être dans un refrain. Mais tout d’abord, quelle chanson ? D’après ce que j’ai chanté, je crois qu’elle parlera de l’amour, le besoin d’être aimé. Que sera le titre ? Le seul mot qui vient à l’esprit, c’est « noyau ». Non..... « noyage », c'est mieux. Je me noie. Bon, pourquoi pas. Comment l’écrire en manière fleurie, en manière plus poétique ?...

Au secours, je me noie.

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