lundi 30 mars 2009

Un (nouveau) texte pour célébrer les enfants

J’ai voulu participer dans le concours « Chansons Sans Frontières » mais je n’étais pas prête. En tout cas, j’essayerai l’année prochaine…

Je viens d’avoir une idée pour des paroles. Où bien, un dialogue entre un enfant et une jeune fille. J’ai repris quelques mots de mon dernier texte, «
Nous sommes tous enfants », parce que je voulais jouer avec cette idée : on retrouve un enfant, parmi des milliers d’enfants sur la rue, qui a besoin d’être aimé.

Oh, et essayez de retrouver la chanson « The Promised Land », de l’album Final Fantasy VII : Advent Children - quel beau morceau pour les voix ! Lorsque vous lisez ces mots, écoutez le morceau. Et dites-moi ce que vous sentez.


L’enfant :
Ferme les yeux et pense à nous.
Nous, qui crions au fond de ces enfers.
Nous, qui avons besoin d’un sourire.
Nous, qui avons été maltraités.
Les enfants partout, ils ont besoin d’une main à tendre.
Entends-tu ce qu’ils disent ?
Devons-nous t’émouvoir ainsi avec nos pleurs ?


La jeune :
Fiston, je sais cet endroit est ténébreux.
Mais toi et les autres enfants, vous n’êtes pas seuls.


L’enfant :
Où trouver des traces d’espoir ? Des traces lumineuses ?
Des cœurs qui radient dans le néant ?


La jeune :
Commence avec mon cœur, mon petit.
Je vais te donner de l’espoir.


L’enfant :
Est-ce que je peux te faire confiance ?

La jeune :
Essaie.

Parce que nous sommes tous enfants,
habitants de ce monde entier.
Nous sommes tous enfants,
qui se servent d’une chance à vivre.
Si la vie ne te favorise pas,
je te tendrai la main.
Et je t’élèverai comme la mienne.
Parce que ce monde ne serait rien sans toi,
Et toi, sans moi.


L’enfant :
Ferme les yeux et pense à nous.
Personne ne voit les larmes qui coulent sur nos joues.
Y a-t-il quelqu’un qui va nous nourrir ?
Encore moins quelqu’un qui va nous mettre à l’abri ?
Nous nous accrochons au destin.
Et nous n’en savons plus rien.
Devons-nous t’émouvoir ainsi avec nos pleurs ?


La jeune :
Je ne peux pas peut-être te comprendre, mais mon cœur est avec toi.
Ton innocence m’aidera à comprendre.


L’enfant :
Est-ce qu’on va nous laisser périr ?
Peut-être qu’ils n’ont pas pitié de nous.


La jeune :
Laisse-moi te retenir.
Je vais te donner de l’espoir.


L’enfant :
Est-ce que je peux te faire confiance ?

La jeune :
Essaie.

Parce que nous sommes tous enfants,
habitants de ce monde entier.
Nous sommes tous enfants,
qui se servent d’une chance à vivre.
Si la vie ne te favorise pas,
je te tendrai la main.
Et je t’élèverai comme la mienne.
Parce que ce monde ne serait rien sans toi,
Et toi, sans moi.

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